Nos marques
La Civette du Théâtre vous propose plus de 40 marques prestigieuses. En exclusivité sur la Riviera, les marques Horacio et El Septimo, mais également Camacho et Capadura. Vous trouverez, chez nous, sans nul doute le module à votre convenance.
Simon Bolivar reste l’une des grandes figures du XIXe siècle. Il est entré dans l’Histoire comme le Libertador (libérateur), celui qui a affranchi de nombreux pays d’Amérique de la domination espagnole. La marque Bolivar a été créée en 1902. Elle est aujourd’hui domiciliée chez la manufacture Partagas, au cœur de La Havane. Comment s’étonner si à l’image de la figure historique dont ils ont adopté le nom ces Habanos témoignent d’une très forte personnalité. Les Bolivar comptent parmi les plus puissants et les plus goûteux Habanos. Ils tirent leur incomparable richesse aromatique de tabacs élevés dans la région de Vuelta Abajo dont l’assemblage (ligada) enchante tout particulièrement les amateurs confirmés.
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Cohiba est la marque porte-étendard des cigares de la Havane. Cette marque créée en 1966 pour Fidel Castro lui-même était, à l’époque, fabriquée dans le plus grand secret, et est actuellement produite dans la fabrique mondialement célèbre de El Laguito. A l’origine, les cigares de Cohiba se retrouvaient uniquement hors de Cuba sous la forme de présents offerts aux chefs d’états et diplomates en visite. Depuis 1982, la marque est disponible sur le marché mondial. Les feuilles destinées à la marque Cohiba constituent la “crème de la crème“ des cinq Vegas Finas de Primera ; les meilleures plantations des régions de San Juan y Martinez et de San Luis. Ces deux sites sont tous deux situés dans la zone par excellence de production du tabac, la Vuelta Abajo. Procédé unique pour les Havanes, deux feuilles de la tripe (seco et ligero) subissent une troisième fermentation en fûts, qui ajoute une certaine douceur à l’arôme du tabac.
Cohiba est la marque porte-étendard des cigares de la Havane. Cette marque créée en 1966 pour Fidel Castro lui-même était, à l’époque, fabriquée dans le plus grand secret, et est actuellement produite dans la fabrique mondialement célèbre de El Laguito. A l’origine, les cigares de Cohiba se retrouvaient uniquement hors de Cuba sous la forme de présents offerts aux chefs d’états et diplomates en visite. Depuis 1982, la marque est disponible sur le marché mondial. Les feuilles destinées à la marque Cohiba constituent la “crème de la crème“ des cinq Vegas Finas de Primera ; les meilleures plantations des régions de San Juan y Martinez et de San Luis. Ces deux sites sont tous deux situés dans la zone par excellence de production du tabac, la Vuelta Abajo. Procédé unique pour les Havanes, deux feuilles de la tripe (seco et ligero) subissent une troisième fermentation en fûts, qui ajoute une certaine douceur à l’arôme du tabac.
Diplomaticos est une marque relativement récente : elle a été lancée dans les années 1960. Par de nombreux points, ses vitoles rappellent les Montecristo. Elles ont, elles aussi, choisi de se distinguer en adoptant le même type de classification par numéros.
La marque a été créée dans les années 1930. A l’exterieur des couvercles de ses boîtes, figure un très curieux texte, rédigé en anglais. Ce texte affirme que les Habanos de la boîte devraient être fumés dans le mois qui suit son expédition du port de La Havane (à l’époque les Habanos voyageaient par mer), sinon qu’il était préférable de les laisser soigneusement vieillir pendant un an. Ses vitoles, élaborées à partir de feuilles élevées dans la région de Vuelta Abajo, se singularisent par leur légèreté.
Fondée en 1891 par Francisco Fonseca, la marque était fabriquée dans une petite manufacture située rue Dragones à La Havane. Elle a été chantée par le poète Federico Garcia Lorca : « J’irai à Santiago avec la tête blonde d’un Fonseca… » On doit à Francisco Fonseca l’habillage du cigare dans une fine feuille de papier japon. Il eut aussi l’idée de créer une salle de dégustation dans sa manufacture pour tester les mélanges choisis par ses clients. Fonseca s’était aussi spécialisée dans la confection de cigares pour banquets, réceptions, clubs, etc.
Guantanamera est le titre d’une chanson composée en 1928 (sur un poème de José Martí) par Joseito Fernandez, qui en fut le premier interprète. Dans les années 1960, cette chanson a rencontré un tel succès au niveau international qu’elle fait depuis partie intégrante de l’image de Cuba dans le monde entier. Guantanamera a donné son nom à une marque de Habanos qui a été lancée sur le marché international en 2002. Les vitoles sont élaborées à partir de feuilles de la Vuelta Arriba, la seconde grande région cubaine de production de tabac.
Herman Upmann, un banquier allemand, se prit de passion pour les Habanos dès son arrivée à La Havane, en 1840. Une passion telle qu’outre sa banque, il créait, en 1844, sa propre manufacture. Si sa banque a fait faillite au début des années 1920, ses cigares, qui témoignent de cette élégance aromatique des Haqbanos moyennement corsés, n’en finissent pas de s’imposer. Au cours du XIXe siècle, la marque a gagné pas moins de onze médailles d’or lors de diverses manifestations internationales. Médailles dont des copies – ainsi que la signature personnelle de Herman Upmann – décorent toujours ses boîtes. La ligne des Magnum est très connue dans la gamme des Habanos moyennement doux. Le traditionnel Magnum 46 reçu en 2008 la compagnie du Magnum 50. Les autres vitoles importantes au sein de la marque sont le Sir Winston, le Connoisseur N°1 et parmi les plus petites vitoles le Coronas Junior et le Half Coronas qui fut lancé en 2011. La gamme des H.Upmann est uniquement constituée de vitoles « Totalmente a Mano ».
De José Gener à Zino Davidoff, ce sont, avec Hoyo de Monterrey, plus de cent ans d’histoire du cigare qui défilent. À l’origine, un Catalan opiniâtre, formidablement ambitieux et autocrate comme un tsar. José Gener a 13 ans lorsqu’il immigre à Cuba. Il en a 33 ans lorsque, en 1851, il s’associe à son oncle pour fonder sa première manufacture et créer une nouvelle marque, La Escepción (ainsi orthographiée par les propriétaires lorsqu’ils la déposèrent) qui devient vite un succès. Gener achète alors une vega fameuse, Hoyo de Monterrey, située dans la municipalité de San Juan y Martinez – on peut encore en voir le portail aujourd’hui. En 1867, il rompt avec son oncle, fonde avec ses frères la société José Gener et lance le label Hoyo de Monterrey, dont les bagues étaient parfois aux armes de client. Trois ans plus tard, nouvelle rupture : le despotique José Gener demeure seul aux commandes, et ses frères sont rétrogradés au rang de simples employés. Pendant trente ans, José Gener restera à la tête de la José Gener y Batet qui commercialise alors Hoyo de Monterrey, José Gener et La Escepción à l’attention du marché américain. À sa mort en 1900, la manufacture Hoyo de Monterrey est la plus grande de Cuba.
De José Gener à Zino Davidoff, ce sont, avec Hoyo de Monterrey, plus de cent ans d’histoire du cigare qui défilent. À l’origine, un Catalan opiniâtre, formidablement ambitieux et autocrate comme un tsar. José Gener a 13 ans lorsqu’il immigre à Cuba. Il en a 33 ans lorsque, en 1851, il s’associe à son oncle pour fonder sa première manufacture et créer une nouvelle marque, La Escepción (ainsi orthographiée par les propriétaires lorsqu’ils la déposèrent) qui devient vite un succès. Gener achète alors une vega fameuse, Hoyo de Monterrey, située dans la municipalité de San Juan y Martinez – on peut encore en voir le portail aujourd’hui. En 1867, il rompt avec son oncle, fonde avec ses frères la société José Gener et lance le label Hoyo de Monterrey, dont les bagues étaient parfois aux armes de client. Trois ans plus tard, nouvelle rupture : le despotique José Gener demeure seul aux commandes, et ses frères sont rétrogradés au rang de simples employés. Pendant trente ans, José Gener restera à la tête de la José Gener y Batet qui commercialise alors Hoyo de Monterrey, José Gener et La Escepción à l’attention du marché américain. À sa mort en 1900, la manufacture Hoyo de Monterrey est la plus grande de Cuba.
C’est au cours des années 1870 qu’un homme d’affaires espagnol, Juan Lopez, créa sa propre manufacture et la baptisa de son nom. La marque ‘La Flor de Juan Lopez’ fut créée en 1876. Composée avec les meilleures feuilles provenant de la Vuelta Abajo, la marque était considérée comme l’une des principales durant 2 décennies.
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